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27 février 2007 2 27 /02 /février /2007 20:55

Après Josh Homme des Queens of the Stone Age hier, la preuve en trois temps que PJ Harvey est définitivement une femme de goût. Au casting idéal réunissant ici Nick Cave, Tricky et Thom Yorke, on aurait aimé ajouter Mark Linkous de Sparklehorse avec qui Polly Jean enregistra deux titres en 2001, mais faute de vidéo, on pourra juste aller les écouter ...

 

 
 
PJ Harvey & Nick Cave - Henry Lee (1995)
PJ Harvey & Tricky - Broken Homes (1998)
PJ Harvey & Thom Yorke - This Mess we're in (2000)
 
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26 février 2007 1 26 /02 /février /2007 22:12

Deux morceaux live des Queens of the Stone Age avec en invitée de marque P.J. Harvey... Juste pour patienter sereinement avant la sortie des nouveaux albums de l'une et des autres...


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21 février 2007 3 21 /02 /février /2007 19:24

Cet été, au gré de quelques dates de concerts (à Paris Plage notamment), dEUS, le groupe flamand de Tom Barman, a été rejoint sur scène, pour l'extraordinaire Suds and Soda, par Stef Kamil Carlens. Celui-là même qui, alors bassiste et deuxième chanteur,  injectait il y a bien longtemps folie furieuse et dérapages à la Captain Beefheart sur les trois premiers albums du groupe.

Après In a Bar Under the Sea, possible chef d'oeuvre de dEUS en 1996, SKC partit fonder Zita Swoon, tandis que Barman, après de nombreux changements de personnel, relançait le groupe anversois de la plus belle manière qui soit avec The Ideal Crash en 1999.

Puis dEUS se tut à nouveau.

En 2004, après un long métrage en tant que réalisateur (Any Way the Wind Blows) et après un enthousiasmant projet parallèle avec le DJ CJ Bolland (Magnus), Tom Barman publia un nouveau dEUS un peu en deça de ses précédentes productions, Pocket Revolution. Un début de tournée en demi-teintes (un Olympia 2004 décevant) jusqu'à l'explosion de l'an dernier avec ce beau cadeau que fut la présence de SKC à quelques concerts. La réunion ponctuelle des deux hommes, qui plus est pour reprendre le tube "historique" du groupe, fut l'une des belles surprises de l'été. Et par chance, ça a été filmé...

 

NB : Les mêmes avec 12 ans de moins sont ici...

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15 février 2007 4 15 /02 /février /2007 23:18

Une nouvelle sélection de neuf chansons pour alimenter la radio mensuelle de ce blog...

(Lecteur audio dans la colonne de droite...)

 
1) Air & Alessandro Baricco - Bird

2) Avril - Be Yourself

3) Serge Teyssot-Gay - Les gens d'ici

4) Diabologum - La Maman et la Putain

5) The Little Rabbits - Yeah !

6) Katerine - J'ai 30 ans

7) Florent Marchet - J'ai 35 ans

8) Fred Poulet - Ca alors

9) Lydie Salvayre, Serge Teyssot-Gay & Marc Sens - Contre (1) 

 

Pour cette nouvelle playlist, une fois n'est pas coutume, les morceaux sont reliés par une particularité qui est celle du refus du chant. Mais qui dit refus du chant ne dit pas refus de la musicalité, loin de là.

Souvent, cette question, ramenant en avant le texte dans sa frontalité, rapproche indirectement le rock de la littérature.

Le nouveau disque de Florent Marchet, Rio Baril, vient questionner ce rapport, à la fois parce que certains de ses morceaux ont été écrits par le romancier Arnaud Cathrine, mais aussi parce qu'il assume la forme du "concept album" et qu'il triture par là-même une puissante matière romanesque. Ecouter J'ai 35 ans, morceau qui m'a donné l'idée de cette sélection, pour s'en convaincre.

Les exemples étaient nombreux, de l'album de Michel Houellebecq aux Dimanches de vote de Luke (que je garde sous le coude pour le mois d'avril...) en passant par certains morceaux d'Yves Simon ou par La chambre de Kat Onoma, et j'ai volontairement décidé de ne pas intégrer à cette sélection des genres trop évidemment concernés comme le rap, le slam ou des chanteurs comme Gainsbourg ou Ferré.

Ce qui m'intéressait le plus ici, je m'en suis rendu compte après coup, c'était finalement la porosité entre les disciplines que semble favoriser le parti-pris du parler/chanter. Quand le rock flirte ouvertement avec la littérature (Serge Teyssot-Gay adaptant les récits de captivité de Georges Hyvernaud ou travaillant avec Lydie Salvayre ; Baricco "interprétant" son roman City aidé par Nicolas Godin et Jean-Benoît Dunckel de Air) ou avec le cinéma (Diabologum brodant autour du monologue de Françoise Lebrun dans le chef-d'oeuvre de Jean Eustache ; les Little Rabbits en plein revival Nouvelle vague)...

Bonne écoute !

 

 

 

Pour une meilleure lisibilité des morceaux,
cliquer, dans le lecteur audio, sur la loupe qui permet
d'ouvrir une fenêtre uniquement consacrée à cette sélection

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10 février 2007 6 10 /02 /février /2007 11:37

 

Dès l'entame, qui n'est peut-être qu'une fin ("If today was tomorrow"), un personnage inquiétant, comme échappé de Lost Highway, déclare "chercher un accès". On ne saurait mieux dire. Car à la vision d'Inland Empire de David Lynch, il y a cette impression inédite d'avoir trouvé l'accès, d'ouvrir la porte d'un pays du Cinéma jusqu'alors inexploré et où il est à la fois déconcertant et fascinant de s'aventurer.

Replis, envers, recoins. Les seuils à franchir, les dimensions parallèles, les brouillages de l'espace et du temps sont justement au coeur d'un film dont la texture formelle hybride vient attaquer nos habitudes, pervertir les codes du bon goût et brouiller la cartographie qu'on avait jusqu'alors dressé avec peine du paysage "lynchien". Dépasser Mullholland Drive paraissait inenvisageable. Inland Empire réalise l'impossible et part encore ailleurs, tout en restant dans le prolongement de la trilogie entamée avec Twin Peaks, Fire Walk With Me...

S'il fallait chercher un équivalent à cette expérience de spectateur incroyablement stimulante, ce serait une émotion de lecteur, celle ressentie il y a quelques années à la lecture du livre-vertige de Mark Z. Danielewski, La Maison des feuilles. Des espaces qui se retournent, qui communiquent dans une paradoxale logique, le refus de la linéarité, la remise en cause du repère-personnage pour privilégier abstraction, émotions, intuitions et affects. Deux oeuvres/mondes, croisant les disciplines artistiques, où l'on n'a pas fini de se perdre...

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8 février 2007 4 08 /02 /février /2007 00:31
Coffee and Cigarettes

De Jim Jarmusch

 

Coffee and Cigarettes, quand il est sorti, n'était pas tout à fait un nouveau film puisque certains des sketches le composant avaient déjà été montrés quelques années auparavant en festivals. Pourtant, même si Jim Jarmusch y avait rassemblé des courts métrages réalisés à différentes époques autour d’un même principe (deux personnages, autour d’une table, dans un café), le film sortant en salles frappait avant tout par son caractère parfaitement homogène.

Loin de l’assemblage hétéroclite, Coffee and Cigarettes s’impose ainsi en projet mûrement réfléchi, une sorte de long métrage pensé, séquence après séquence, sur le long terme. Cet opus n’est donc pas un film à sketches comme l’était Night on Earth, ni un simple programme de courts. Ici, les différents films – certains connus, la plupart inédits – se fondent dans une nouvelle norme de durée et leur nature initiale d’œuvres brèves s’atténue doucement. C’est cette transformation de plusieurs courts en une seule oeuvre qui surprend, car ces sketches prennent bien tout leur sens une fois assemblés les uns aux autres, le dispositif exhibé ici dans sa répétition finissant même par bonifier des segments parfois anecdotiques dans leur unicité. D’un sketch à l’autre, des rimes visuelles (les plans en plongée sur les tables) ou sonores (une phrase réutilisée telle quelle dans la bouche d’un autre personnage) créent une discrète cohérence, les propos échangés dans ces cafés rebondissant d’un duo à l’autre, d’un lieu à l’autre, en parfaites discussions de bistrots.

Dans Coffee and Cigarettes, la « Jarmusch’s touch » est plus que présente, relayée par des acteurs complices croisés ailleurs et par des chefs opérateurs (Frederick Elmes, Robby Müller, non des moindres) sculptant un noir et blanc superbe. Jarmusch profite surtout de la simplicité de son dispositif pour laisser le champ libre aux comédiens et aux mots. Les saynètes filmées dans Coffee and Cigarettes frappent par leur tonalité dérisoire (des discussions de bistrot, disions-nous) tout en conservant, en filigrane, cette mélancolie dont ne s’est jamais déparé son cinéma. Très drôle aussi, ce film est un festival de répliques absurdes et de vacheries larvées (mention spéciale au sketch savoureux mettant en scène Iggy Pop et Tom Waits dans leurs propres rôles). C’est bien la première fois qu’un film de Jarmusch fait autant rire, les rencontres improbables qu’il met en scène (Bill Murray et le Wu-Tang Clan ; la lisse Cate Blanchett et son double dépravé ; Alfred Molina et Steve Coogan) redoublant le plaisir d’un film qui profite, il est vrai, beaucoup du riche carnet d’adresses du cinéaste new yorkais.

Par ailleurs, si le film est dédié à Joe Strummer, leader des Clash décédé en 2002, son côté ouvertement rock, loin d’être gratuit, témoigne aussi de la passion du réalisateur pour une musique qu'il connaît bien. Prenant autant de plaisir à filmer Jack et Meg White écoutant le Down on the Street des Stooges qu’à laisser Steve Buscemi énoncer sa théorie du jumeau maléfique d’Elvis, le film dresse des ponts entre plusieurs figures d’une culture populaire dans laquelle s’ancre tout le cinéma de Jarmusch. Coffee and Cigarettes, du coup, pourrait très bien être lu comme le titre de l’abum que le cinéaste n’a pas enregistré. Un disque de producteur, un disque de reprises où des duos invités rejouent chacun à leur manière une même chanson. Sur cet album imaginaire, on se plait à penser que chaque sketch serait un nouveau morceau, ou plutôt une variation sur un même thème. Et si les arrangements et les musiciens changent, au fond, tournant dans le juke-box, c’est toujours le même vieux blues, s’appuyant sur trois accords basiques : le café, les cigarettes, le noir et blanc.

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28 janvier 2007 7 28 /01 /janvier /2007 19:14
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27 janvier 2007 6 27 /01 /janvier /2007 16:42

Et si les DJ à l'origine des bootlegs n'existaient pas ? Et si les morceaux avaient acquis, seuls, une vie indépendante, échappant à leur créateurs pour se mélanger en fonction de leurs affinités harmoniques ? Et si les mashups étaient une invention journalistique destinée à ne pas semer la panique ?

La sortie en dvd de L'antre de la folie, l'un des meilleurs films de John Carpenter, nous donne l'occasion de creuser l'hypothèse de ces oeuvres s'affranchissant de leurs créateurs (un livre dans L'antre de la folie, des chansons ici...).

Pour preuve (oui ! oui !), deux bootlegs hantés par les mythologies du film d'horreur : le premier s'appuie sur le Thriller de Michael Jackson et le second, à qui l'on décernera la palme de l'originalité et du bon goût, sur The Time Warp, morceau-phare du Rocky Horror Picture Show...

"Beware !"

ToToM - Thriller Song (Kyuss vs Michael Jackson vs Simian)

DJ Clive$ter - Check up on the Time Warp (Beyonce vs The Rocky Horror Picture Show) - 3e morceau dans la liste en lien ci-dessus...

 

Liens :

ToToM's Mashups : http://www.boototom.info/dotclear/

DJ Clive$ter : http://clivester.multiply.com/music/item/41
 

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27 janvier 2007 6 27 /01 /janvier /2007 00:31

Les affiches de concerts rock sont depuis plusieurs décennies le lieu de créations souvent étonnantes. Elles ont surtout ceci de particulier, par rapport aux pochettes de disques, qu'elles se caractérisent par leur nature éphémère et par leur relative rareté. On peut en découvrir aujourd'hui sur de nombreux sites, à commencer par http://www.rock-poster-art.com/ (où, classées tant par graphistes que par groupes, elles sont accompagnées de commentaires et d'historiques très précis). On peut aussi fouiller dans les tréfonds du Wolfgang's Vault, ici, et tomber sur des affiches nous enseignant par exemple que Soft Machine a joué en première partie de Hendrix... Ce Wolfgang's Vault, que nous fit découvrir Ama-L il y a quelques semaines, c'est surtout 300 concerts des "seventies" à écouter en streaming avec une qualité sonore souvent excellente. Entre Sly & the Family Stone, Springsteen, The Band, Bob Marley, Stevie Wonder et tant d'autres, c'est un trésor inestimable à portée de "clic" : http://concerts.wolfgangsvault.com/

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25 janvier 2007 4 25 /01 /janvier /2007 00:20

Dans une vie d’avant, Jean-Charles Versari était le chanteur des Hurleurs. Ce groupe, dont le premier album parut en 1996, ne fut d’abord qu’un ersatz peu convaincant des Têtes Raides. La tardive mue du groupe fut d’autant plus surprenante lorsqu’en 2002 sortit Blottie, l’un des disques français les plus importants de ces dernières années (à ranger pas si loin de L’imprudence de Bashung et du Remué de Dominique A). Produit par Ian Caple et accueillant aussi Stuart Staples (chanteur des Tindersticks) ou Adrian Utley (de Portishead) à la production, Blottie traduisait un soudain virage rock et l’abandon radical du format chanson. Habité, fiévreux, doté d’arrangements remarquables, le disque fut malheureusement le dernier d’un groupe qu’on imaginait alors en pleine renaissance artistique. Trop sombre peut-être. Trop amer sans doute. Le dernier fait d’armes discographique des Hurleurs serait une belle reprise de Si tu t’en vas sur un album-hommage à Léo Ferré en 2003.

Depuis, Jean-Charles Versari a abandonné son prénom pour prêter son nom à un groupe dont le premier album est sorti ces jours-ci. Parfaite suite de Blottie, Jour après jour sort sur le label T-Rec que le chanteur a fondé avec Cyril Bilbeaud, ex-batteur de Sloy, et où Serge Teyssoy-Gay vient de les rejoindre.

Jour après jour oscille entre mélodies pop inattendues (And Then she Said, Les amours quotidiens), rock abrasif (le furieux Blunt) et morceaux plus introspectifs rappelant les meilleurs moments de Blottie. C’est justement quand l’album s’envole vers les plus sombres tourments, dès le quatrième morceau, Dans un rêve / Dans un cauchemar, qu’il convainc pleinement. À la production, la patte de Ian Caple, de retour, est aisément reconnaissable. Sur Les lignes blanches, diamant noir niché en fin d’album, et sur quelques autres titres, la texture sonore, vibrante, mêle à la voix grave de Versari des guitares saturées, une trompette, d’étranges boucles, mille petits détails dessinant une toile de fond grouillante qui menace toujours de submerger la mélodies et les mots.

Ne pas se fier, donc, à sa pochette assez laide : le disque de Versari est la première bonne nouvelle de 2007.

 

 

Agenda :

Versari sera en concert au Triptyque à Paris le mardi 13 février.

Liens :

Assez inhabituel, on peut lire le journal de l’enregistrement de l’album à l’adresse suivante : http://www.lecargo.org/versari/

http://www.versari.org/

http://www.myspace.com/versari

___ 

 

Signalons aussi la sortie, chez T-Rec, du nouveau projet de Serge Teyssot-Gay, ancien guitariste de Noir Désir. Après ses passionnantes collaborations avec Lydie Salvayre (deux livres/disques, Contre et Dis pas ça, publiés chez Verticales) et après le duo Interzone, le voici associé à Cyril Bilbeaud et au guitariste bruitiste Marc Sens pour un album d’expérimentations soniques et rock aussi radical qu’enthousiasmant. Une première vidéo de Zone libre (le nom du trio) est visible ici et un autre morceau à écouter sur le myspace de Zone libre, .

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