29 janvier 2009
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12 août 2008
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Queens of the Stone Age au Zénith, il y a quelques heures... Un 29 février qui durera quatre ans...
Quatre ans à tenir... C'est aussi ce que nous nous disions cet après-midi, Place du Palais Royal, en protestant contre le désengagement de l'Etat en matière de Culture...
5 décembre 2007
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Une heure et demie durant, le chanteur ne cessa de quitter la scène pour se mêler au public. Puis, les rôles s'inversèrent. Comme dans les récents concerts des
Stooges, mais de manière beaucoup moins contrôlée, ce furent les spectateurs qui vinrent enfin à lui. Ainsi s'est achevé le concert. Les frontières s'estompant, l'espace de la représentation se
mêlant à celui des spectateurs, comme dans ce clip de Sonic Youth dont je parlais il y a quelque temps...
Gogol Bordello au Trabendo, le 15 novembre 2007
"Et puis je voulais sortir le folk du petit ghetto intimiste et intellectuel dans lequel il s'est un peu enfermé. Je voulais lui rendre sa vulgarité, son côté
braillard, comme au temps où il était joué dans des music-halls populaires face à un auditoire bruyant et aviné. Se faire entendre était aussi pénible pour les chanteurs que les efforts des
personnages des chansons pour se faire accepter. Je ne suis pas le premier à avoir voulu revitaliser le folk. Les Pogues l'ont fait admirablement avant. Ou, aujourd'hui, le groupe de New York
Gogol Bordello." (Bruce Springsteen, à propos des Seeger Sessions, dans Télérama, la semaine dernière)
26 août 2007
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2 juillet 2007
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12 juin 2007
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Le nouvel album des White Stripes, le cinquième, sort dans une semaine.
Le concert du Zénith fut, pour Jack White, un retour aux bases, à ce format chanson qui lui permit de composer Seven Nation Army, morceau qu'il dégaine désormais habituellement pour clore les concerts. Une bonne chose que ce retour au format pop de chansons troussées autour d'un riff toujours imparable car j'étais resté sur le souvenir des dérives guitaristiques un peu pénibles des Raconteurs, le groupe parallèle de Jack White, à Rock en Seine. Comme si cette escapade avait permis aux White Stripes de revenir plus sereins vers un rock fleurant bon l'énergie des premiers albums, loin des errements récents d'un duo que l'on disait lassé. Ce soir, quasiment pas de morceaux de Get Behind Me Satan (l'album de la rupture enregistré presque sans guitares), peu de nouvelles chansons (mais l'extraordinaire Icky Thump...) et beaucoup de standards issus, donc, des trois premiers albums du duo. Et toujours Ball and Biscuit et Jack White s'accordant l'air de rien tout en improvisant un solo au début dudit morceau. La grande classe.
3 juin 2007
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L'image tremble. Mark Linkhous s'approche lentement, s'asseoit sur son tabouret. Ce soir, Sparklehorse, en formation réduite, s'engouffre dans des spirales musicales rêveuses. It's a Wonderful Life, entame comme souvent le concert, tandis que les images Super 8 filmées par Guy Maddin pour cette chanson plongent l'Elysée Montmartre dans une douce mélancolie. "It's a sad and beautiful world", nous confiera quelques minutes plus tard le chanteur... Issues des quatre albums de Sparklehorse, les ballades tristes et mélancoliques se succèdent, parées de sonorités électroniques et d'expérimentations leur donnant un relief inédit. Une heure plus tard, Linkhous et ses deux musiciens quittent la scène. Il est temps de rouvrir les yeux.
2 mars 2007
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